Doisneau, Cartier-Bresson, Willy Ronis... tous avaient le coeur en bandoulière, flâneurs insatiables à la recherche
de l'instant décisif.
Ensemble, ils écrivent la page de la photographie humaniste d'après-guerre. Une photographie de témoignage, qui entre assez vite en contradiction avec les préoccupations formelles et abstraites de la photographie subjective.